AMEN
SECONDE GUERRE MONDIALE
HOLOCAUSTE
CATHOLICISME
Réalisateur : COSTA-GAVRAS
Réalisé en : 2002
Durée : 2h12
Pays : Allemagne
Acteurs : Ulrich TUKUR, Mathieu KASSOVITZ, Ulrich MUHE
SECONDE GUERRE MONDIALE
HOLOCAUSTE
CATHOLICISME
Réalisateur : COSTA-GAVRAS
Réalisé en : 2002
Durée : 2h12
Pays : Allemagne
Acteurs : Ulrich TUKUR, Mathieu KASSOVITZ, Ulrich MUHE
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Kurt Gerstein, un officier SS allemand, épaulé par un jeune jésuite, Ricardo Fontana, tente d'informer le Pape Pie XII et les Alliés du génocide des Juifs organisé par les nazis dans les camps de concentration.
Ce film est basé sur la pièce de théâtre "Le Vicaire" de Rolf Hochhuth.
Principaux éléments historiques véridiques dans le film :
Kurt Gerstein : Le personnage principal, interprété par Ulrich Tukur, est basé sur le véritable Kurt Gerstein, un officier SS qui a tenté d'alerter le monde sur l'utilisation du Zyklon B dans les camps d'extermination nazis
Zyklon B : Le film montre Gerstein découvrant que le Zyklon B, un pesticide qu'il avait contribué à développer pour des usages sanitaires, était utilisé pour tuer des millions de personnes dans les chambres à gaz
Tentatives d'alerte : Gerstein a effectivement tenté de contacter des représentants de l'Église catholique et d'autres autorités pour les informer des atrocités commises par les nazis, bien que ses efforts n'aient pas eu l'impact escompté.
Et quelques libertés assumées :
Personnage de Riccardo Fontana : Le personnage du prêtre jésuite Riccardo Fontana, interprété par Mathieu Kassovitz, est fictif. Il est une création dramatique pour représenter les membres du clergé qui ont tenté de s'opposer aux nazis
Interactions et dialogues : Comme beaucoup de films historiques, "Amen" prend des libertés avec les interactions et les dialogues pour augmenter le drame. Certaines scènes sont inventées ou exagérées pour des raisons narratives
Réactions du Vatican : Le film critique fortement l'inaction du Vatican face à l'Holocauste, une interprétation qui reste controversée parmi les historiens. Bien que le Vatican ait été informé des atrocités, la réponse officielle a été jugée insuffisante par de nombreux critiques.